jeudi 2 juin 2011

Pitch moi dans l'eau, ça me dérange pas!



Lorsqu'on a soif de liberté, il est important de s'hydrater. Exit l'hydratation au compte- goutte, perpétuant le mode "en attente d'un prochaine petite dose pour survivre" (ça c'est bad). Parlons plutôt d'une approche qui désaltère et qui nous permet de continuer notre chemin selon les meilleures conditions possibles.

La liberté au sens littéral du terme dans un monde comme le nôtre, ça existe plus ou moins (on vit quand même dans un système, faut pas se leurrer) mais se sentir libre dans sa propre vie, ça on peut. Pour se sentir libre, il faut faire des choix qui nous correspondent, des choix de vie qui nous mettent intelligemment de l'avant et cesser de penser à la terre entière qu'on essaie parfois de porter du bout de ses bras (la terre entière contient beaucoup d'eau et de gens qu'on aime mais si tu la tiens du bout de tes bras, tu ne peux pas vraiment en profiter).

Boire c'est possible (je vous apprends rien) et boire de grosses gorgées de liberté, c'est aussi possible. Les gens qui ne boivent pas assez, ils finissent avec le teint un peu blafard et ils ne bougent pas vraiment. Mais c'est normal, ils ont soif! Vous essayerez un marathon sans eau, impossible.

Être vraiment libre, je pense que c'est un processus constant. Tu te dois de travailler ton freedom à tous les jours (comme se traîner une p'tite gourde, mettons).

Le freedom de prendre ton temps le week-end, de déguerpir pour mieux revenir, d'accéder à tes objectifs en bougeant et surtout... de t'écouter. Vous savez, si on nous dit que pour bien comprendre l'autre il faut savoir l'écouter, faudrait peut-être utiliser le même principe pour soi. Apprendre à communiquer avec soi-même, c'est simple mais oublié...trop souvent oublié.

On dit que l'eau c'est source de vie, je dis aussi que la liberté... c'est source de vie.

Annotation: L'alcool est accepté le week-end.